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08/05/2020

La fin du confinement

La fin du confinement et la retour sur les berges de nos rivières préférées.

Malheureusement, cette dernière création ne pourra pas goûter les saveurs des eaux bretonnes ! Elle devra se contenter des eaux du  bassin avranchin même si ce dernier fut longtemps dans le Duché de Bretagne à l'époque de l'indépendance bretonne.

 

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11/04/2020

En attendant la fin du confinement...

Petite mouche bretonne sur hameçon n°8 montée en moins de 15 minutes.

 

 

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18/03/2020

Une vision dantesque !

 

L'Ellé, dans sa partie morbihannaise, est une des plus belles rivières de Bretagne, rivière réputée pour sa population de salmonidés (truites et saumons), mais dans quel état se trouve-t-elle !

Si les dernières tempêtes n'ont pas arrangé la situation catastrophique de ce magnifique cours d'eau , son encombrement ne date pas d'aujourd'hui. D'années en années son état se détériore. Il est grand temps de mettre les moyens adéquates afin de sauver (le terme n'est pas exagéré) ce formidable patrimoine qui semble laisser totalement indifférent certains acteurs. En effet, que fait la société de pêche concernée ? Que fait la fédération de pêche du département concerné, le Morbihan ?

Le département, la Région, voire l'Europe ne peuvent-ils pas être mis à contribution ? On peut également se poser une autre question : n'est-ce pas un véritable crime de laisse à l'abandon une si belle rivière qui coule dans un cadre aussi enchanteur ?

ps : il faut toutefois remercier les quelques personnes qui chaque année en fin de saison organisent une journée d'entretien avec l'accord de la société du Haut-Ellé. Mais c'est loin d'être suffisant...

Enfin, pour conclure ce petit coup de gueule,,un rappel de la loi :

Conformément à l’article L215-14 du Code de l’environnement, le propriétaire est tenu à un entretien régulier du cours d’eau qui a pour objet de maintenir la rivière dans son profil d’équilibre, de permettre l’écoulement naturel des eaux et de contribuer à son bon état écologique, notamment par enlèvement des embâcles, des débris et des atterrissements, flottants ou non, par élagage ou recépage de la végétation des rives. A noter que la collectivité peut se substituer au propriétaire

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pour l’entretien des cours d’eau, au cas par cas et lorsque l’intérêt général s’impose.

30/12/2019

Bloavezh mat deoc'h-holl evit 2020.

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24/02/2019

Prête pour l'ouverture ?

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13/12/2018

Nos rivières à saumon.

"Si nous gérions nos rivières à saumon atlantique comme vous, nos populations de saumons seraient anéanties en moins de dix ans !".

B. Tétréault, éminent hydrobiologiste québécois en visite en Bretagne.

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28/10/2018

Nouvelle acquisition

Superbe canne en bambou refendu, 12 pieds parabolic Pezon et Michel. Action magnifique.

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Avec mes deux cannes à truite et ma 10'6 saumon,  cela me fait 4 superbes cannes en bambou refendu.

 

15/01/2018

Le grand voyageur.

 

Un matin lumineux dans un ciel de chair se lève sur la mer. Le saumon, dans sa séculaire sagesse, sait qu’approche le moment du grand départ. Ce n’est pas le premier. A peine remis de récentes aventures, il s’apprête à remonter vers la source qui l’a vu naître. Que de souffrances, que d’espoirs déçus, que de rencontres stériles l’attendent encore au long du voyage à contre courant des rivières ! Pourquoi ne pas rester en paix, bercé par la vague nourricière, la langueur océane, la caresse du soleil atlantique sur ses écailles ? Pourquoi ne pas attendre que la vie passe, sans à coups, apportant avec elle la quiétude mais aussi l’ennui ? Le saumon n’a pas d’autre choix que de s’en aller car sa survie en dépend. Le chemin, toujours le même, est toujours différent. Il ne lui reste qu’à suivre la blessure des paysages.
Extrait du livre « Le voyage du saumon » de Françoise Boixière.

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18/06/2016

La Bretagne doit s'aligner sur les pays civilisés !

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06/11/2014

Barrages sur la Sélune.

sélune,barrages,saumons,pêche à la moucheA quelques kilomètres de la Bretagne coule une superbe rivière. Malheureusement saumons et truites de mer sont condamnés à la peine capitale. Depuis des années, ils attendent dans le couloir de la mort... 

La destruction des deux barrages s'imposent.

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Ces deux monstres de béton doivent disparaître au plus vite.

 

 

sélune,barrages,saumons,pêche à la mouche

 

14/09/2013

Le saumon atlantique.

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Description

Le Saumon Atlantique (Salmo Salar) est une espèce appartenant à la famille des salmonidés. Son corps est fusiforme et recouvert de petites écailles. Comme les autres poissons de la famille des Salmonidés, il présente une nageoire adipeuse en arrière de la dorsale, la nageoire caudale est large, ce qui lui permet de nager vite. La coloration de la robe est variable suivant le stade de développement et ressemble pour les jeunes stades à celui de la truite commune. L’alevin et le tacon (ou parr) présentent une robe d’aspect métallique avec un dos gris ardoise plus ou moins bleuté, des flancs argentés avec des marques bleutés caractéristiques dites « en doigt de gant » et un ventre blanc nacré. Le smolt (juvénile prêt à entreprendre la migration vers la mer) prend une livrée brillante argentée que conserve l’adulte jusqu’à son retour du milieu marin. A l’approche de la reproduction, les flancs se teintent en jaune et des taches rouges et pourpres se développent. Un bec caractéristique à la mâchoire inférieure se développe également chez les mâles. La taille du saumon est en relation avec le nombre d’hivers en mer, de un à trois ans rarement plus, les saumons de printemps peuvent dépasser le mètre et les 15 kg, les poissons de première montée mesurent de l’ordre de 50 à 60 cm pour un poids de 2 à 4 kg.

Généralités

Les saumons déposent leurs œufs dans des eaux courantes au sein de nids. Les œufs éclosent et vont grandir en alevins qui vont rester sous le gravier jusqu’à ce que leur vésicule vitelline se résorbe. Ils vont ensuite émerger à travers le gravier, avaler une bulle d’air pour atteindre une flottabilité neutre et commencer à se nourrir. Peu après l’émergence, l’alevin se disperse, occupe et défend un territoire, on le nomme alors tacon. Après 1 an ou plus, ils smoltifient et retournent à la mer. La dévalaison se passe généralement au printemps ou au début de l’été. Après une ou plusieurs années passées en mer, le saumon devient sexuellement mature et retourne à sa rivière natale. Certains passent plusieurs années en mer, ceux là reviennent tôt dans la saison, ils sont plus gros, on les appelle saumon de printemps. D’autres passent une année et reviennent plus tard dans la saison, ce sont les grilses (ou castillons). Le frai a généralement lieu en automne ou tôt dans l’hiver en général dans la rivière natale. Les conditions océaniques (en particulier la température) influent sur la qualité et la quantité de la population de reproducteur, une condition d’égale importance pour la survie des stocks sauvages est la qualité du milieu pendant sa phase en eau douce. Ainsi il lui faut une eau de bonne qualité (Température, Oxygène), et des conditions particulières d’habitat (espace disponible, substrat, abris, fourniture en nourriture, qualité et quantité des zones de fraies).

Cycle de vie

La reproduction a lieu en eau douce, sur les têtes de bassin. A partir de mois de novembre, la femelle creuse un ou plusieurs nids et y dépose les ovules immédiatement fécondés par le mâle. L'incubation dure environ 3 mois, mais les alevins ne quittent la frayère qu'un mois plus tard pour se disperser dans des zones de courant afin de rechercher leur nourriture (larves d'insectes aquatiques principalement). Les juvéniles, appelés tacons, passent une ou deux années en rivière avant de subir un ensemble de modifications qui vont les préparer à la vie marine : c'est la smoltification. Les smolts, rassemblés en bancs, rejoignent alors les aires d'engraissement marines situées au large du Groenland et des îles Féroë. Le séjour en mer dure d'une à trois années, puis les saumons reviennent vers les eaux continentales dont ils sont originaires (phénomène de homing) pour se reproduire. Durant la remontée des cours d'eau, les adultes, ayant cessé de se nourrir, puisent dans les réserves énergétiques accumulées pendant la phase marine. Généralement, ils ne survivent pas à la reproduction, cependant une faible proportion d'individus peut résister et reprendre une nouvelle migration vers la mer.

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 Source : Bretagne Grands Migrateurs.